L’ entreprise individuelle est une forme juridique très populaire des fondateurs d’entreprises. Les avantages, en effet, sont nombreux : prise de décision facilitée, gestion de l’entreprise plus facile que dans l’entreprise, pas de capital à contribuer… C’est une forme juridique qui convient particulièrement aux entrepreneurs inexpérimentés.
Toute l’activité de l’entreprise est gérée par l’entrepreneur individuel. C’est le gérant de l’entreprise qui est le seul maître à bord.
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Cette section déchiffrera pour vous tout ce que vous devez savoir sur le gestionnaire d’une entreprise individuelle : rôle, régime fiscal et social, responsabilité…
Plan de l'article
Qu’ est-ce qu’un propriétaire unique ?
L’ entreprise individuelle est l’ une des formes juridiques en France qui permet d’exercer une activité indépendante, tout comme l’entreprise . La particularité de l’entreprise individuelle est qu’elle n’a pas la personnalité juridique.
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Il n’y a pas d’entité juridique distincte de la personne de l’exploitant. L’entrepreneur travaille en son propre nom. Les actifs de sa société sont confondus avec ses actifs personnels, et la société n’a pas ses propres droits. C’est l’exploitant agissant en son nom.
Le chef d’un propriétaire unique est appelé un entrepreneur individuel . C’est une personne physique qui peut exercer une activité commerciale, libérale, artisanale ou agricole.
Dans le cas de l’entreprise individuelle, il est possible d’opter pour le système très simplifié des micro-entreprises. Ce système de microtaxe est réservé aux entrepreneurs individuels qui gagnent moins de 176 200€ de TVA par an pour une activité de vente ou 72 500€ pour une activité de service. En relation avec le régime microsocial, ceci est considéré comme un auto-entrepreneur.
Il est aussi possible de choisir l’EIRL, qui, sous certaines conditions, permet de protéger vos biens personnels en cas de dette (voir ci-dessous). Les micro-entreprises et les EIRL sont compatibles.
Le rôle du gérant à propriétaire unique
Le seul gérant est le seul capitaine à bord : il n’a pas d’associé. Il n’a pas de relation subordonnée. Il est le seul décideur en matière de gestion. Chaque jour, il prend indépendamment toutes les décisions concernant la vie de l’entreprise.
Il exerce son activité professionnelle en son nom.
Le propriétaire unique est nécessairement une personne physique. Il peut être accompagné dans son travail par son conjoint. Cette situation doit être connue des autorités compétentes.
Le statut d’IST Leader
En France, Les gestionnaires d’entreprise sont couverts soit par le programme TNS (travailleur indépendant), soit par le système d’égalité des employés.
Le seul gestionnaire d’entreprise est assujetti au programme TNS, tout comme les gestionnaires majoritaires de SARL ou partenaires partenaires. Il s’agit d’un travailleur indépendant qui ne connaît pas de relation subordonnée. Il est couvert par l’Assurance Sociale des Indépendants (SSI), anciennement RSI.
Il existe des différences entre le système TNS et le même système salarial.
Le gestionnaire de TNS contribue aux prestations de retraite de base et complémentaires, de maladie et de maternité, aux allocations journalières, aux prestations d’invalidité et de décès et aux allocations familiales. Elle ne contribue pas au chômage, mais dans de très rares cas elle peut le réclamer depuis le 1er novembre 2019.
La protection sociale est un peu moins avantageuse que le système d’égalité salariale , mais les charges sont quelque peu moins élevées en contrepartie. Après tout, il y a des avantages et des inconvénients pour chacun de ces deux régimes : tout dépend de la situation.
Les frais de sécurité sociale de l’administrateur individuel de l’entreprise sont calculés sur la base du bénéfice imposable, c’est-à-dire du chiffre d’affaires moins les dépenses. Le taux d’échantillonnage est estimé à environ 40 %, mais cela varie selon le cas.
Si le propriétaire unique décide de ne pas payer (ou ne peut pas payer en raison de son flux de trésorerie), il devra toujours payer des frais, car ils sont basés sur le bénéfice.
Une exception à la règle pour IIRL, qui a choisi IS : les cotisations sociales sont calculées sur la base de la rémunération accordée et éventuellement sur une partie des dividendes comme dans l’entreprise. Le calcul ne fait plus référence aux gains.
Les micro-entrepreneurs, pour leur part, paient des cotisations sociales sur la base de des revenus générés sans déduire ou déduire les dépenses. Le taux d’imposition est de 22 % pour les services et de 12,8 % pour les ventes.
Le régime fiscal de l’administrateur individuel de l’entreprise
Le système de contrôle de l’officier de l’IS classique
Le concept de rémunération du dirigeant d’une entreprise individuelle n’est pas le même que dans l’entreprise.
Le fonctionnaire ne peut pas recevoir de dividendes, et sa rémunération n’est pas déductible du système fiscal . Il s’agit simplement de prélèvements pour usage personnel provenant des flux de trésorerie. C’est pourquoi les cotisations de sécurité sociale sont calculées sur la base du bénéfice imposable.
En plus des impôts de sécurité sociale, l’entrepreneur individuel est assujetti à l’impôt sur le revenu. La catégorie d’imposition dépend du type d’activité :
- BIC (bénéfices industriels et commerciaux) pour artisans et commerçants
- BNC (bénéfices non commerciaux) pour les professions libérales
- BA (bénéfices agricoles) pour les professions agricoles
Il n’y a pas d’impôt sur les sociétés. C’est le fonctionnaire en son nom qui paie des impôts sur son bénéfice imposable (et pas seulement sur la rémunération payée par lui).
Le régime fiscal du directeur de l’EIRL
Les entrepreneurs individuels qui ont opté pour le LEIRL peuvent choisir d’être assujettis à l’impôt sur le revenu des sociétés. Cependant, cette option n’est pas disponible pour les microentrepreneurs.
Dans ce cas, la rémunération de l’administrateur d’entreprise individuel est imposée à l’IR dans la catégorie des traitements et salaires. Tous les dividendes relèvent de la catégorie MCR.
Le système fiscal des micro-entrepreneurs
La micro-entreprise est soumise à l’impôt sur le revenu sur la base de son chiffre d’affaires. Elle bénéficie d’une réduction de 34, 50 ou 71%, selon la nature de son activité.
Il peut également choisir de libérer l’impôt sur le revenu. Dans ce cas, il paie son impôt tous les mois ou tous les trimestres, en même temps que ses impôts de sécurité sociale.
Le conjoint de l’entrepreneur individuel
Si le conjoint ou le partenaire de PACS participe à l’activité de l’entreprise individuelle, il doit être signalé à l’État. Un statut doit être sélectionné. Ce dernier déterminera ses droits et obligations.
La loi propose au conjoint de l’entrepreneur 3 lois différentes :
- Le premier est le statut de conjoint coopérant : le conjoint doit exercer une activité professionnelle régulière dans l’entreprise individuelle et ne pas être rémunéré ou lié. Il est soupçonné d’être un agent et peut donc effectuer quotidiennement des dossiers de gestion et de gestion. Il jouit d’une protection sociale.
- Le deuxième est le statut d’un conjoint conjoint : Ce statut n’est pas possible dans une entreprise individuelle parce qu’il ne peut y avoir plus d’un associé par définition.
- Le troisième est le statut d’employé-conjoint : comme son nom l’indique, le conjoint est propriétaire d’un contrat de travail (CDD ou CDI) émis par l’entreprise individuelle.
Il doit participer efficacement et, en règle générale, aux activités de l’entreprise, même si le travail à temps partiel est possible. Il doit également recevoir un salaire correspondant à sa catégorie professionnelle (au moins égal au Smic).
Responsabilité de l’entreprise individuelle
Une situation risquée en cas de difficultés financières
L’ administrateur général du propriétaire unique est responsable pour une durée indéterminée des dettes professionnelles sur l’ensemble de ses
Étant donné que le propriétaire unique ou l’entreprise n’a pas ses propres actifs, pas de barrière entre la vie professionnelle et la vie personnelle du gestionnaire.
En conséquence, dans le cas de dettes de nature professionnelle, les biens personnels peuvent être confisqués. Selon le navire de mariage choisi, les biens du conjoint peuvent également être en danger.
Il s’agit là d’une situation risquée pour l’administrateur général du propriétaire unique. C’est l’un des principaux inconvénients du statut de l’entreprise individuelle.
Systèmes de protection des biens personnels
Toutefois, ce problème doit être nuancé, puisque la loi prévoit divers mécanismes de protection depuis plusieurs années. Depuis la Loi Macron de 2015, le lieu de résidence principal de l’agent est automatiquement protégé . Il n’est pas nécessaire d’effectuer des étapes spéciales. On dit qu’il s’agit d’une protection « de la droite ».
Le propriétaire unique peut également empêcher d’autres terrains bâtis ou non aménagés de prendre les mesures correctives de son protéger les créanciers professionnels. Pour ce faire, il est nécessaire d’aller chez un notaire pour faire une déclaration de crise insaisissable. Toutefois, les biens immobiliers protégés ne peuvent pas être utilisés à des fins professionnelles.
Enfin, le propriétaire unique peut choisir l’EIRL (Individual Company Limited Responsabilité). Ce n’est pas un statut juridique différent, mais une option de protection des monuments.
La création d’un LEIRL sert à construire un patrimoine contractuel. C’est un patrimoine fictif qui rassemble professionnellement les biens nécessaires à la réalisation de l’activité. Dans le cas de passifs liés aux activités de la société, les créanciers ne peuvent confisquer que les actifs présents dans le Cepatrimoine.